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Editions Flatland (2021)

200 pages

L'Ange de la Mélancolie

édition revue et augmentée

Voici un livre singulier, qui vous invite à un festin amer et pourtant particulièrement relevé. Les quatorze textes de ce recueil de contes atrabilaires, transcendés par la plume rare et ciselée de Nicolas Liau, s’aventurent  dans les extrêmes retranchements de la noirceur et du désespoir, en quête de beauté. Les énergies sombres qui le traversent célèbrent la rencontre destructrice et douloureuse d’Éros et Thanatos, mais l’omniprésence ambiguë de la mort et du plaisir, tour à tour révérés et honnis, finit par instiller le doute dans l’esprit du lecteur : ne jaillirait-il pas de ces effusions mortifères une source renouvelée de vie et de création ?

Quelques figures marquantes se dressent en chemin pour vous faire les honneurs de cette féroce célébration – un accordeur de cœurs cherchant l’âme sœur, un scruteur de ciels trop téméraire, un garde forestier turpide et une lavandière crédule, sa victime. Les chemins de paysages sombrement beaux – villes en perdition, marais stagnants, forêts étouffantes – s’offrent à vos déambulations. Partout, le petit peuple des animaux, martyrs et rédempteurs, vous accompagne dans cette errance. Dans la mort qui s’annonce, c’est la vie qui palpite plus frénétiquement qu’elle ne le fait jamais.

Il peut paraître singulier d’affrioler le lecteur potentiel en lui vantant l’ouvrage qui l’intrigue sous un jour aussi peu réjouissant. Chacun jugera s’il se sent de taille à tenter l’aventure, mais vous vous priveriez d’un plaisir rare en passant votre chemin. Car comme l’indique Jacques Sirgent dans sa préface, « ce livre est un diamant noir, un des plus beaux que j’aie lus, et le plaisir de lire vous fait retrouver un semblant de bonheur, ce qui est déjà beaucoup dans le monde d’aujourd’hui. » Puisse-t-il être entendu.

Sommaire :

- Le Clou du spectacle

- Le Garçon qui écoutait les coeurs

- Une misère

- Cette tristesse au goût d'ancolie

- Trois petites goulées de mort pure

- Priapées

- Enfer et Damnation

- Le Mouroir aux Tourterelles

- Le Havre des Sans-Sourires

- Fleurs de barbelés

- Corpus Delicti

- Il regardait le monde par la racine

- Jusqu'à ce que pâlissent les étoiles

- L'arbre où j'ai pendu ta peau

Préface de Jacques Sirgent

Illustration de Victor Soren

Je commande sur les sites de vente en ligne, auprès de mon libraire habituel ou de l'éditeur.

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« L’univers noir et sombre de l’auteur renvoie à la maestria d’un Baudelaire

ou d’un Edgar Allan Poe. Et la lecture d’un tel recueil de contes, que

l’auteur dit être atrabilaires, ne laisse pas indemne. »

Olivier Stroh (Lisez Berry ! - Bip TV)

« De souffrance, il en est question dans ce livre, magistralement racontée, narrée, susurrée dans la langue des grands auteurs. Nicolas Liau a l’honneur d’être un poète doublé d’un conteur. Et l’on referme ce livre sans en sortir indemne, brûlé par son obscure clarté. »

Olivier Stroh (Lettres, etc.)

« Le réel et l’imaginaire se contaminent et, si ces nouvelles sont qualifiées de fantastique, elles le sont par l’audace des images qui frôlent la mort et la pourriture ; les sentiments déçus et le désespoir, provocateurs de métaphores, en sont le moteur. Le dernier texte, en manière d’hommage à un jeune suicidé, rend le destin des personnages du recueil tristement réalistes. Flatland éditeur republie les textes pleins de mélancolie de cet auteur, dont Claude Seignolle a salué le style et qui nous donne des plaisirs sombres de lecture. »

Céline Maltère (Le Manoir des Lettres)

« Bref, cet "Ange de la mélancolie" mérite que l'on se plonge dans ses pages, que l'on s'y abandonne même, tant les histoires y sont originales et surprenantes. »

Christian Pineau (La Bouinotte)

« Comme dans le précédent ouvrage de Nicolas Liau, certains textes échappent au gore le plus abject au profit d'un ton plus poétique, mais ils sont ici une franche minorité. Ailleurs, vous n'échapperez pas à son imagination aussi clinique qu'impitoyable. »

(Les Chroniques de l'Imaginaire)

« Je le dévore autant qu'il me dévore... Où le Baudelaire le plus sombre rencontre le Schwob au style le plus sensible et le plus musical... Encore plus impressionnant que Quand je serai grand, je serai mort. Nicolas Liau est décidément et définitivement un très grand. »

Frédéric Collemare , traducteur littéraire.

« La cruauté affutée de ces nouvelles en quête de beauté révèle la grande souffrance d’un cœur écorché vif. Cela m’a touchée. »

Christine Brignon (Gandahar)

Vidéo promotionnelle :

édition première

Tout au long de ses deux recueils, rassemblés en un seul volume, Nicolas Liau nous propose sa vision des relations entre les hommes à travers des manifestations surnaturelles ou oniriques qui, tantôt effraient, tantôt intriguent, mais ne laissent jamais indifférent. Dans "L'Ange de la Mélancolie", il développe un monde unique, dans lequel les rapports entre hommes jouent la carte de l'amour, de la trahison et de la déception, et où le fantastique devient l'ultime échappatoire à la folie. Il y pose les bases d'une interrogation pertinente sur notre capacité à comprendre autrui et à l'accepter. Chaque nouvelle devient une petite perle douce-amère qui saisit aux tripes et perturbe le lecteur. Dans "Quand je serai grand, je serai mort", salué par la critique et entièrement révisé et recomposé, il propose un monde plus nuancé, teinté de l'eau des contes, dans lequel la réalité se tord pour laisser place à des surgissements étranges ou inquiétants. Touché par la grâce, chacun de ses récits ouvre les portes d'une autre dimension où les lois naturelles n'ont plus cours et où le lecteur se retrouve déstabilisé par ce qui survient. Dans des environnements réalistes ou merveilleux, il peint, dans un style poétique et soigné, des apparitions qui changent le quotidien de ses personnages et entraînent le lecteur dans un univers unique, qui fait de cet auteur un sérieux espoir de la littérature de genre en France.

Editions Asgard (2012)

284 pages

Sommaire :

- Le garçon qui écoutait les cœurs

- Brins

- Trois petites goulées de mort pure

- Enfer et Damnation

- A son corps défendant

- Le Havre des Sans-Sourires

- Il regardait le monde par la racine

- Le Mouroir aux Tourterelles

- Fleurs de barbelés

- Cette tristesse au goût d'ancolie

- L'Arbre où j'ai pendu ta peau

- Jusqu'à ce que pâlissent les étoiles

Suivi du recueil "Quand je serai grand, je serai mort"

Préface de David Dunais

Illustration de Jimmy Kerast

«Ce sont tous des contes cruels aux chutes surprenantes donc jubilatoires.» (L'Antre-Monde)

«L’écriture de Nicolas Liau est dense, intense, recherchée et sollicite fortement le lecteur à travers des textes polis, ciselés.» (Phénix Mag)

«Des textes poignants, malsains et un peu glauques qui pourtant nous font réfléchir […]. Nicolas Liau offre avec brio des analyses du comportement humain.» (Les Victimes de la Louve)

«C’est donc avec un grand génie que Nicolas Liau nous plonge dans le plus noir de l’homme et dans son désespoir, pour nous montrer, avec des histoires noires et fantastiques, ce que les hommes sont prêts à faire lorsque leurs émotions prennent le dessus, ou même lorsque les émotions sont absentes de leurs vies.» (Lire ou Mourir)

«Les intrigues sont travaillées, bichonnées, pour un résultat proche de la perfection. » (Histoires de Romans)

«Ce conteur-là n'est pas pour les enfants et nous entraîne dans un univers macabre, où le surnaturel est souvent aigri et revanchard […]. Nicolas Liau se place donc du côté des stylistes, de ceux dont la plume balade le lecteur dans des contes étranges et morbides. La principale nouveauté pour le fantastique tient donc de l'écriture de ce nouvel auteur, pour l'instant très prometteur.» (Psychovision)

«Cruauté, détresses prolongées de l’enfance, solitudes irrémédiables de l’adulte, monde morbide sans être glauque, univers décadents, déliquescents, âpreté du réel et rugosité du désespoir – mais avec, parfois, en contrepoint, l’indispensable pincée d’humour noir, ou même une légère lueur d’espoir. Le tout servi par une écriture soignée, un vocabulaire riche, un sens des ambiances, et un art de la nouvelle courte.» (Yozone)

«Avec une phrase toujours rythmée et poétique, l’auteur a le don de rendre palpables les rêves avec lesquels on ensemence le sol, comme il le dit si joliment. Toutes ses histoires sont celles d’amours exclusivement masculines et malheureuses où les amants se déchirent et ont besoin de souffrir pour exister, où pour cesser d’aimer on s’arrache littéralement le cœur.»

(Maine Découvertes)

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